Je suis comme un enfant devant une vitrine de jouets. Toutes les semaines en passant devant cette boutique je la regarde. Avec ses coutures de cocker elle me nargue, se déhanche, tourne sur elle même dans un faisceau lumineux.
Rien ne m'empêche de pénétrer, de l'enfiler même, de me dandiner avec prétextant un "je ne sais quel" mal de pied. Si une bonne raison l'emporte, pécuniaire certes. Alors je passe et repasse à chaque saison devant et elle devient de plus en plus belle. Oserais-je franchir le cap ? Un jour elle sera mienne disait Myke dans un film culte devant une Fender blanche trop chère.
Mon tour arrivera, il est peut être en marche alors patience ... Un jour elle sera mienne
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